Premier emploi : les avantages d’une bonne formation
Se familiariser avec le monde de l’emploi n’est pas toujours évident pour un jeune diplômé qui occupe son premier poste. Pour l’aider à s’en sortir et à accroitre sa qualification, certaines entreprises proposent des formations professionnelles. Les pistes.
Formation professionnelle : un outil favorisant la qualification du salarié
Outil mis à disposition du salarié, nouveau ou ancien, la formation professionnelle permet d’accroitre ses compétences et son niveau de qualification dans un domaine. Depuis 2004, le droit individuel à la formation ou DIF a été approuvé par de nombreuses entreprises pour favoriser leur compétitivité et leur développement. En bénéficiant d’un contrat de professionnalisation par son entreprise, le salarié est libre de choisir sa formation et son projet professionnels. En interne ou en externe, divers moyens lui sont alloués pour atteindre son objectif.
Des garanties pérennes pour l’employabilité du salarié
Les nouveaux salariés peuvent prétendre au DIF en concertation avec leur employeur selon le Code du travail. La demande du DIF doit néanmoins être faite à l’initiative de l’employé et envoyée à son employeur en lettre recommandée avec accusé de réception pour validation. Elle doit préciser particulièrement la formation désirée et sa durée. En décrochant un certificat ou une qualification reconnue dans l’activité, le salarié est en mesure de garantir son employabilité.
L’intérim pour s’exercer et familiariser
Plusieurs entreprises offrent des postes en intérim pour des étudiants, stagiaires, mais aussi pour ceux qui sont en quête d’emploi. Effectivement, la rémunération est certes, minime, mais travailler en intérim, même si cela ne va pas s’inscrire dans le CV, renforcera les compétences d’ici quelques années. Se familiariser dans un monde professionnel effectif est une formation en elle-même, et consolidera la capacité de s’autodiscipliner. Le travail en intérim forge le caractère, et doit être considéré comme une formation ou un stage que du vrai travail afin d’accroitre la motivation d’entreprendre. Ce qu’il faut retenir psychologiquement, c’est que l’intérim doit être examiné en tant que mission, et pour le réussir, on doit tout mettre en œuvre, ses compétences, ses études, voire même ses expériences, pas forcément professionnels, mais ce qu’on a vécu suffit pour apporter ses fruits ultérieurement. Pour ceux qui viennent juste de sortir des écoles, donc, sans expérience, en un peu de temps, on aura presque fait le tour de tous les métiers, et de choisir ce qui est le plus motivant. Après un intérim, il est plus facile de s’intégrer dans le monde professionnel avec ses acquis et les expériences qu’on vient d’acquérir.
Une formation gratuite et conditionnée
À l’embauche, le salarié et son employeur signent un contrat de professionnalisation alternant travail en entreprise et formation en externe ou interne. Le salarié dispose ainsi d’un planning réglementé pour suivre une formation gratuite sans que cela gêne son activité. En son absence, si le salarié est un commercial par exemple, son employeur devra trouver le moyen de le remplacer en recourant à une agence d’externalisation de réception d’appels comme saisie.fr par exemple. Celle-ci gérera les différents appels téléphoniques de la clientèle ou des fournisseurs de l’entreprise le temps de la formation du commercial.